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Un anneau d’or et une colombe blanche comme
le lait, tels sont les présents qui te conviennent ;
puis une corde de chanvre pour votre amour à vous,
pour le pendre à quelque arbre.
Pour vous, une demeure d’ivoire (les roses sont
blanches dans la tonnelle de roses), et pour moi,
un petit lit pour m’étendre (blanche, oh ! qu’elle est
blanche la fleur de la ciguë) !
Le myrte et le jasmin pour vous (oh ! qu’elle est
belle à voir, la rose rouge !), et pour moi, le cyprès
et la rue (le plus beau de tous est le romarin).
Pour toi, trois amants, aspirants à ta main (l’herbe
verdit sur la tombe d’un mort), pour moi, l’espace
de trois pas dans le sable (qu’on plante des lis du
côté de ma tête) !
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Être sans un sou : terrible maladie
Quand la vie étale ses victuailles
Sous nos yeux bavant d’admiration pour la folie
L’envie sème la pagaille
Dans les corridors de notre corps
Une force surnaturelle nous bouscule
Nos pires instincts convoitent l’or
À l’intérieur de nous les démons hurlent
Être sans un sou : épine sous la peau
Quand le besoin est pressant
Et le lendemain, pas marrant
La nuit devient fardeau
Pour notre tête tourmentée
Le cerveau s’empêtre dans l’insomnie
Les soucis ne nous accordent de répit
Et l’estomac ne cesse de nous blâmer
Être sans un sou : clef du mal
Ouvrant les portes de la cruauté
Aux gens ayant la morale déboussolée
Par les tacles du temps infernal
Être sans un sou : péché mortel
Plongeant dans la mendicité
Les reproches au goût de caramel
Qui puent avec les années
Nous avons tous un rendez-vous avec demain
Autant débarbouiller l’existence
Pour trouver son chemin
Et obtenir sa récompense
Place tes lèvres comme un sceau sur ma joue
Pour signer un pacte d’amour avec mon corps
Crois-moi, ô femme, je ne suis pas fou
Gronde en moi un amour plus puissant que la mort
Touche mon cœur pour repriser ces sentiments
Qui démontent ma poitrine excitée
Il me faut un refuge pour mes doigts agités
Et, pour mes sens, un calmant
Tes soupirs sont plus doux que les hits du colibri
Tes caresses, plus dangereuses qu’un tsunami
Ô douce paysanne, tu es toute ma vie
Que les vagues de ton regard m’emporte
Dans les sentiers de la passion
Où le bonheur n’a pas de porte
Es-tu le fruit de mes illusions
Tes seins sont comme des fleurs
Sur lesquelles mes lèvres vont butiner
Pour recueillir le pollen de ta sensualité
L’éclat de ton rire embaume mon humeur
Tes soupirs sont plus doux que les hits du colibri
Tes caresses, plus dangereuses qu’un tsunami
Ô douce paysanne, tu es toute ma vie
Même si le cerisier ne fleurit pas
Et qu’il n’y a d’espoir pour le mandarinier
Même si le champ de maïs est incendié
Et le printemps ne sourit pas
Je veux encore croire en l’avenir
Même si le labeur du manguier avorte
Et qu’il n’y a de force dans le chêne
Même si la sécheresse frappe à la porte
Et qu’il n’y a plus de sang dans mes veines
Je veux encore croire en l’avenir
Même si l’ortolan déserte la terrasse
Et qu’il n’y a de couleur pour l’arc-en-ciel
Même si la nuit me tabasse
Et qu’il y a du fiel dans le miel
Je veux encore croire en l’avenir
Même si l’aurore est infectée
Et qu’il n’y a d’horizon dans l’abîme
Même si l’amour est dévasté
Et qu’il n’y a plus de place pour les crimes
Je veux encore croire en l’avenir
Même si demain empeste
Et qu’il n’y a de victoire dans le mal
Même si la raison souffre de la peste
Et qu’il n’y a de paix dans les balles
Je veux encore croire en l’avenir
Même si je bois le vin de la déception
Et qu’il n’y a de toit pour mon cœur
Même si le temps noie mes ambitions
Et qu’il n’y a de pansement pour ma douleur
Je veux encore croire en l’avenir
09/05/2015 la 7:44
Être sans un sou : terrible maladie
Quand la vie étale ses victuailles
Sous nos yeux bavant d’admiration pour la folie
L’envie sème la pagaille
Dans les corridors de notre corps
Une force surnaturelle nous bouscule
Nos pires instincts convoitent l’or
À l’intérieur de nous les démons hurlent
Être sans un sou : épine sous la peau
Quand le besoin est pressant
Et le lendemain, pas marrant
La nuit devient fardeau
Pour notre tête tourmentée
Le cerveau s’empêtre dans l’insomnie
Les soucis ne nous accordent de répit
Et l’estomac ne cesse de nous blâmer
Être sans un sou : clef du mal
Ouvrant les portes de la cruauté
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09/05/2015 la 7:45
Place tes lèvres comme un sceau sur ma joue
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Crois-moi, ô femme, je ne suis pas fou
Gronde en moi un amour plus puissant que la mort
Touche mon cœur pour repriser ces sentiments
Qui démontent ma poitrine excitée
Il me faut un refuge pour mes doigts agités
Et, pour mes sens, un calmant
Tes soupirs sont plus doux que les hits du colibri
Tes caresses, plus dangereuses qu’un tsunami
Ô douce paysanne, tu es toute ma vie
Que les vagues de ton regard m’emporte
Dans les sentiers de la passion
Où le bonheur n’a pas de porte
Es-tu le fruit de mes illusions
Tes seins sont comme des fleurs
Sur lesquelles mes lèvres vont butiner
Pour recueillir le pollen de ta sensualité
L’éclat de ton rire embaume mon humeur
Tes soupirs sont plus doux que les hits du colibri
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Ô douce paysanne, tu es toute ma vie
09/05/2015 la 7:47
Même si le cerisier ne fleurit pas
Et qu’il n’y a d’espoir pour le mandarinier
Même si le champ de maïs est incendié
Et le printemps ne sourit pas
Je veux encore croire en l’avenir
Même si le labeur du manguier avorte
Et qu’il n’y a de force dans le chêne
Même si la sécheresse frappe à la porte
Et qu’il n’y a plus de sang dans mes veines
Je veux encore croire en l’avenir
Même si l’ortolan déserte la terrasse
Et qu’il n’y a de couleur pour l’arc-en-ciel
Même si la nuit me tabasse
Et qu’il y a du fiel dans le miel
Je veux encore croire en l’avenir
Même si l’aurore est infectée
Et qu’il n’y a d’horizon dans l’abîme
Même si l’amour est dévasté
Et qu’il n’y a plus de place pour les crimes
Je veux encore croire en l’avenir
Même si demain empeste
Et qu’il n’y a de victoire dans le mal
Même si la raison souffre de la peste
Et qu’il n’y a de paix dans les balles
Je veux encore croire en l’avenir
Même si je bois le vin de la déception
Et qu’il n’y a de toit pour mon cœur
Même si le temps noie mes ambitions
Et qu’il n’y a de pansement pour ma douleur
Je veux encore croire en l’avenir