Ils me disent que tu es blonde
Et que toute blonde est perfide,
Même ils ajoutent ” comme l’onde „.
Je me ris de leur discours vide !
Tes yeux sont les plus beaux du monde
Et de ton sein je suis avide.
Ils me disent que tu es brune,
Qu’une brune a des yeux de braise
Et qu’un coeur qui cherche fortune
S’y brûle… Ô la bonne foutaise !
Ronde et fraîche comme la lune,
Vive ta gorge aux bouts de fraise !
Ils me disent de toi, châtaine :
Elle est fade, et rousse trop rose.
J’encague cette turlutaine,
Et de toi j’aime toute chose
De la chevelure, fontaine
D’ébène ou d’or (et dis, ô pose-
Les sur mon coeur), aux pieds de reine.
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