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La République -Platon- Livre audio

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Platon

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La République (en grec Περὶ πολιτείας / Perì politeías, « à propos de l’État » ou simplement Πολιτεία / politeía, « la constitution »), aussi nommée La Politie dans les milieux philosophiques, est un dialogue de Platon portant principalement sur la justice dans l’individu et dans la Cité. Il s’agit de l’ouvrage le plus connu et le plus célèbre de Platon en raison, entre autres, du modèle de vie communautaire exposé et de la théorie des Formes que Platon y expose et défend.
C’est l’un des ouvrages les plus étendus de Platon. Dans la classification de Thrasylle de Mendès, il occupe la deuxième place de la huitième tétralogie. Le livre est divisé en dix parties ; cette division est peut-être due à des critiques d’Alexandrie. Selon Cicéron, la République de Platon est le premier livre de philosophie politique grecque. Aristoxène accuse Platon d’avoir copié les Antilogikoi ou le Peri politeias de Protagoras, et Aulu-Gelle rapporte dans ses Nuits Attiques que les deux premiers livres furent d’abord édités seuls et que Xénophon y opposa sa Cyropédie. La première édition des dialogues réunis de La République date de 315 av. J.-C., à l’initiative de l’Académie. Du « naturel philosophe », Platon donne le trait caractéristique dans La République : il y a « désir de connaître et amour du savoir, ou philosophie ». Et cette activité consiste à chercher le Vrai, le Beau, le Juste, donc des valeurs, des normes, des principes, des idéaux, par-delà les choses sensibles, cela avec une sagesse et dans une perception globales. D’une part, « le philosophe a envie de sagesse, non d’une sagesse et pas d’une autre, mais de la totalité de ce qu’elle est ».

Personnages du dialogue
Socrate,
Thrasymaque,
Céphale de Syracuse et son fils Polémarque,
Glaucon et Adimante, frères de Platon. Platon fait dire par Socrate qu’« il est l’homme le plus valeureux envers et contre tous »
Clitophon, homme politique athénien

Citations

Les Sept contre Thèbes, d’Eschyle : « Un homme qui ne consent pas à seulement paraître homme de bien, mais qui veut être tel, moissonnant dans sa pensée le sillon profond d’où germent les nobles desseins »
L’Odyssée, d’Homère : « Que le frère vienne en aide au frère »
Les Travaux et les Jours, d’Hésiode :

« Les chênes portent à leur sommet des glands
et des abeilles dans leur tronc.
Les brebis laineuses plient sous le poids de leur toison. »

L’Odyssée, d’Homère :

« Comme celle d’un roi irréprochable
rempli du respect du dieu et qui se porte au secours du bon droit ;
la terre noire porte les blés et les orges
les arbres ploient sous le poids des fruits,
les brebis ne cessent d’engendrer, et la mer offre les poissons »

Les Travaux et les Jours, d’Hésiode :

« La méchanceté, il est facile d’y accéder en nombre
Le chemin qui y mène est sans obstacles,
et elle loge tout près,
mais devant la vertu, les dieux ont placé la sueur. »

L’Iliade, d’Homère :

« Les dieux eux-mêmes peuvent être influencés
avec des sacrifices, avec de douces supplications
avec des libations et la fumée des sacrifices, les hommes les apaisent »

Pindare : « Est-ce par la justice que je gravirai la haute enceinte ou par des fourberies trompeuses, pour m’y retrancher et y passer ma vie? »
Solon : « Mais chez Hadès, nous devons expier devant la justice les injustices que nous avons commises en ce monde, nous-mêmes ou les enfants de nos enfants »
Une référence à La Théogonie, d’Hésiode se retrouve
Une référence à la chute d’Héphaïstos racontée dans l’Iliade
Niobé, d’Eschyle : « Un dieu implante chez les mortels la responsabilité coupable quand il veut détruire entièrement leur demeure »
Xantrias, d’Eschyle : « pour les enfants bienfaisants du fleuve argien Inachos »
Un fragment d’Eschyle est cité :

« Apollon célébrait ses heureuses naissances
et des vies exemptes de maladies et longues ;
après avoir proclamé tout cela, sur mon destin aimé des dieux
il entonna un péan, me redonnant courage.
Et moi qui espérais que la bouche divine de Phébos soit sans mensonge, source de l’art divinatoire.
Or ce dieu, qui chantait lui-même des hymnes, qui siégeait lui-même au banquet
qui lui-même avait clamé ses choses, c’est lui-même le meurtrier de mon enfant à moi »

Livre 1

Livres 2-3-4

Livre 5

PLATON – La République -Livre 6

PLATON – La République -Livre 7

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