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On rêve souvent la destination touristique paradisiaque des Maldives, l’archipel qui offre les plages de sable fin, le beau soleil et les complexes hôteliers de luxe pour les touristes fortunés.

Mais ce que l’on sait peu, c’est que derrière ce Paradis, il y a l’enfer : depuis le 27 avril, l’archipel a rétabli la peine de mort pour les enfants, pour «renouer avec la charia».

L’âge de la responsabilité criminelle est établi à 10 ans et après cela, les enfants seront soumis à la peine capitale, mais dans les situations de la consommation d’alcool, d’athéisme ou l’apostasie (renoncer à l’Islam), la responsabilité pénale tombe à l’âge de 7 ans.

Le président de l’archipel des Maldives est Abdulla Yameen Abdul Gayoom et l’Islam est la religion d’État.

Les réactions du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme et des organisations humanitaires demandent une action immédiate contre la peine de mort pour les enfants, et plusieurs gens appellent à boycotter cette destination de rêve, devenu enfer pour les habitants.