„My Confession” is a brief autobiographical story of Leo Tolstoy’s struggle with a mid-life existential crisis of melancholia. It describes his search for answers to the profound questions „What will come of my life?” and „What is the meaning of life?”, without answers to which life, for him, had become „impossible.” Tolstoy reflects on the arc of his philosophical life until then: his childhood abandonment of his Russian orthodox faith; his mastery of strength, will, power, and reason; and how, after he had achieved tremendous financial success and social status, life to him seemed meaningless. After despairing of his attempts to find answers in science, philosophy, eastern wisdom, and his fellow men of letters, he describes his turn to the wisdom of the common people and his attempts to reconcile their instinctive faith with the dictates of his reason. The main body of the text ends with the author reaching a compromise: faith, he realizes, is a necessity, but it must be constrained by reason. However, an epilogue that describes a dream he had some time after completing the body of the text suggests that he has undergone a radical personal and spiritual transformation. (Summary from Wikipedia)
Leo Tolstoy’s „A Confession,” written in 1882 shortly after a life-altering spiritual crisis, is a brutally sincere reflection on life, morality, and the nature of faith. Tolstoy describes in great detail the process by which he lost his faith in established Christian churches, the meaninglessness of wealth and fame, the agony of acute depression, and how he overcame misery and dread through personal study of the teachings of Jesus Christ. Along the way, he contrasts the artificial faith and arrogance of educated people with the genuine faith and humility of the Russian peasant. This work, and others of its ilk, were aggressively censored by the Tsarist regime and directly led to Tolstoy being excommunicated by the Russian Orthodox Church. Summary by Paul Rizik.
„Ma confession” (en russe : Исповедь [Ispoved’]) est une courte œuvre de confession du célèbre romancier russe Léon Tolstoï sur le thème de la mélancolie, de la philosophie et de la religion. Elle a été écrite en 1879 et 1880.
Contenu
Le livre est un récit autobiographique de l’auteur à un moment de sa vie où il traverse une crise de mélancolie existentielle. Il décrit sa recherche de réponses aux questions profondes : « Qu’est-ce qui sortira de ce que je fais aujourd’hui ? de ce que je ferai demain ? Qu’est-ce qui sortira de toute ma vie ? » et « Quel est le sens de la vie ? », sans réponses pour lui et qui rendent la vie « impossible ».
Tolstoï parle de son enfance, de son abandon de sa foi orthodoxe russe, sa maîtrise de la force, sa volonté de pouvoir, et comment, après avoir atteint un succès financier et un statut social considérable, sa vie n’avait plus aucun sens.
Après avoir désespéré de ses tentatives pour trouver des réponses dans la science, la philosophie, la sagesse orientale, et ses semblables de lettres, il « avoue » qu’il a trouvé la réponse à sa peine dans les profondes convictions religieuses orthodoxes des citoyens ordinaires. Il décrit comment il a soumis son scepticisme rationnel et l’horreur de la « superstition des vérités chrétiennes » afin d’obtenir la tranquillité d’esprit dont il avait besoin pour permettre sa « survie ».
Le terme « confession » a été utilisé parce que Tolstoï était parfaitement conscient qu’il allait contre les préjugés anti-religieux / athée qui dominaient une grande partie de l’élite laïque russe et européenne (par défaut en raison des lacunes de l’orthodoxie).
Histoire
Le livre a été initialement intitulé « Introduction à une critique de la théologie dogmatique », comme la première partie d’une œuvre en quatre parties qui comprenait aussi Critique de la théologie dogmatique, Les Quatre Évangiles harmonisées et traduites (la base pour L’Évangile en bref) et Ce que je crois.
La première tentative de publication a eu lieu en 1882 (Russkaya Mysl, no 5), mais l’œuvre de Tolstoï a été pratiquement éliminée de l’édition complète du journal par la censure de l’Église orthodoxe. Le texte a été publié plus tard à Genève (1884), et en Russie qu’en 1906 (Vsemirnyj Vestnik, no 1).
Noé Beaubrun
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Je suis Noé Beaubrun, né le 9 mars 1989 à Port-au-Prince dans la capitale d'Haïti. Je suis né d'une famille de 5 enfants dont je suis le cadet. Je fais mes études […]
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