
La Cène (Léonard de Vinci)
Saint Graal, l’amphore utilisée par Jésus à la dernière Cène, avant la Pâque juive, la veille de sa Crucifixion et trois jours avant sa résurrection, était un bol miraculeux, ou une pierre pure et lumineuse tombée du ciel – décrite par Wolfram von Eschenbach dans Parzival, objet de la quête des chevaliers de la Table Ronde du Moyen Âge, et thème de Wagner dans Parsifal.
Dans le sens moderne de la quête, Saint Graal est un objet sacré aux pouvoirs puissants, car seul un être pur pourra le trouver et en prendre possession, pour apporter au monde des nouvelles connaissances ou une application originale sur la matière, par exemple en physique, on qualifie la théorie de grande unification (théorie du tout) de « Graal des physiciens », ou bien le « Graal des généticiens », qui contrôle la physionomie des organes…
On croit que Joseph d’Arimathie a reçu le Saint Graal, quand le Christ fut descendu de sa Croix, et il y a des églises comme la cathédrale de Sainte Marie de Valence qui affirment qu’elles ont le Graal, d’autres sources disent qu’il se trouve sur la colline de Glastonbury ou dans le Moyen-Orient, mais toutes les recherches des Chevaliers Templiers et de leurs survivants sont restées infructueuses.
La recherche se poursuit aujourd’hui avec encore plus d’intérêt, car le Graal est considéré comme un symbole sacré de l’ouverture humaine pour atteindre la maturité spirituelle, maintenant quand le monde est brisé et toutes ses valeurs traditionnelles sont inversées à l’échelle mondiale, comme un ultimatum universel qui nous est adressé à lever le voile et percer le mystère.
En savoir plus sur Les Mystères de la Bible
Un comentariu
Răspunde →